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ville de vanves - Page 577

  • VANVES ET LES TRANSPORTS EN COMMUN : LA REGION REPARE DES INJUSTICES ET INCITE A UTILISER DES TITRES DE TRANSPORTS DEMATERIALISES

    Les vanvéens  qui prennent les transports en commun ont eu le droit à un cadeau pour certains d’entre eux, ce qui est rare en ces temps qui courent, avec le pass Seniors, mais une mauvaise surprise avec l’augmentation du carnet de tickets de métro en carton depuis le 1er Novembre. A un moment où il est beaucoup question de transports, avec les gréves surprises à la SNCF, et celle du 5 Décembre qui s’annonce très dure, comme le 13 Septembre dernier. Des sujets abordés  lors du Conseil d’Administration de Ile de France Mobilités, haute autorité des transports franciliens,  où siége Bernard Gauducheau, maire de Vanves et conseiller régional,  mercredi dernier, avec l’audition des PDG de la SNCF et de la RATP. Et où sa présidente, Valérie Pécresse,  a défendu le service minimum, l’indemnisation des voyageurs touchés par ses gréves intempestives, et surtout lorsque ce dernier n’est pas assuré, en prévenant les syndicats : «Un mouvement sans service minimum desservirait leurs causes ! »

    La région Île-de-France a mis en place  un Pass Senior  pour les franciliens de 62 ans et plus,  sans activité professionnelle ou travaillant moins d’un mi-temps, leur permettant de se déplacer sur le réseau des transports publics régionaux à moitié prix. Il fonctionne sur le même principe que le Navigo annuel utilisé par les salariés. Il est pris en charge à 50 %, non pas par une entreprise, mais par la région via Ile de France Mobilités (ex-Stif). Le Navigo Senior coûte 37,60 euros par mois, au lieu de 75,20 euros au plein tarif, soit un gain de pouvoir d’achat de 451,20 euros par an pour les utilisateurs. «Je répare une injustice tarifaire. Les Franciliens de plus de 62 ans payant des impôts étaient les grands oubliés de la politique des transports en commun franciliens. Ils n’avaient droit à rien, contrairement aux jeunes avec Imagine’R ou aux actifs avec le remboursement de leur employeur» explique V.Pécresse. Mais pour les titulaires de la carte améthyste, comme les anciens combattants, par exemple, ce n’est pas intéressant, car ils ne paient de 25 €, cmome le constatait l’un d’entre eux ces derniers jours dans le local de l’UNC Vanves.

    Mais comme d’habitude, les bonnes nouvelles sont accompagnées de mauvaises :  Ce 1er novembre, le carnet de 10 tickets de métro, de 14,90 à 16,90 euros, mais le ticket t+ individuel reste à de 1,9€. L’objectif de cette augmentation de plus de 13% a pour but d’accélérer la transition vers les titres de transport dématérialisés mais par la même occasion elle viendra mécaniquement décourager les usagers à utiliser ce type de support en carton entraînera mécaniquement un rejet des transports en commun pour les utilisateurs occasionnels ou ceux qui ne souhaitent pas passer au numérique, les personnes qui ont une difficulté, voire une incapacité à utiliser les appareils numériques. Pour certains élus, Le ticket t+ doit rester une alternative à la dématérialisation, permettant à n’importe quel usager de prendre les transports en commun sans être obligé de passer par l’achat ou le rechargement d’une carte, ou encore savoir si son téléphone portable est compatible et dispose de la bonne technologie pour pouvoir bénéficier de cette dématérialisation.

  • REMISE DES MEDAILLES DU TRAVAIL A VANVES : UNE CEREMONIE DESUETE QUI FAIT LA FIERTE DES ACTIFS

    Une soixantaine de vanvéens  étaient présents à l’hôtel de ville mardi soir, pour la traditionnelle cérémonie de remise  des médailles d’honneur du travail ptrésidée par Bernard Gauducheau, le secrétaire d’Etat à la Jeunesse, Gabriel Attal conseiller municipal, Isabelle Debré vice présisdente du conseil départemental,  7 maires adjoints, 5 conseillers municipaux dont Jean cyril Le Goff qui réçu une  médaille d’argent du travail avec 38 récipiendaires dont 16 argents (20 ans), 12 Vermeil (30 ans), 5 or (35 ans) 5 grand Or (40 ans). Deux vanvéens ont été fait citoyens d’honneur à cette occasion : Catherine De Santi, qui termine sa carrière comme proviseur du lycée Louis Dardenne, Leone Murator (sur la photo) qui a terminé sa carrière comme gardien de la paix, aidant les enfants à traverser à la sortie des écoles de Vanves

    L’histoire de la Médaille d’Honneur du Travail, est certainement la plus complexe à retracer parmi les décorations civiles françaises, tant par le nombre de textes qui, au fil des années de son existence, ont été promulgués, que par les nombreux changements d’intitulés de son ministère, dont il est très difficile d’établir une liste précise : La médaille d’honneur du travail créé le 15 Mai 1948 remplace la médaille d’honneur du ministère du Commerce et de l’Industrie (1886), la médaille d’honneur du ministère du Travail et de la Prévoyance Sociale (1913) appelée aussi médaille d’honneur des vieux serviteurs

    Elle est destinée à récompenser l’ancienneté des services honorables effectués par toute personne salariée chez un seul employeur. Elle est décernée deux fois par an à l'occasion du 1er janvier et du 14 juillet, soit selon les dernières statistiques, entre 300 000 et 400 000 par an, surtout depuis qu’elle a connu une évolution concernant le nombre d’employeurs (4 au lieu d’un seul depuis 1994, illimité depuis 2000°), avec un record de 585 820 Médailes en 1985 «Aujourd'hui récompenser quelqu'un parce qu'il a vieilli dans l'entreprise est décalé par rapport à la réalité de l'emploi. Autrefois, quelqu'un qui changeait souvent d'employeur était qualifié d'instable. Aujourdhui, quelqu'un qui n'en change pas assez est vu comme manquant de mobilité, d'initiative» explique t-on à l'Institut Supérieur du Travail (IST) qui précise qu’elle est attribuée à tous les niveaux hiérarchiques selon les mêmes critéres.  Elle comporte 4 échelons : la médaille d'argent décernée après 20 ans de services, de vermeil décernée aux titulaires de la médaille d'argent comptant 30 ans de service,  d'or décernée aux titulaires des deux précédentes comptant 35 ans de service, et  grand or décernée aux titulaires des trois précédentes comptant 40 ans de services.

    Enfin, il parait que, si les entreprises l'ont prévu dans leurs conventions collectives, la médaille peut s'accompagner d'une prime, exonérée d'impôts jusqu'à un mois de salaire - contrairement aux primes d'ancienneté. Les titulaires reçoivent un diplôme mais s'ils veulent une vraie médaille, c'est à leur frais

     

     

  • VANVES SENSIBILISE AU CONVOITURAGE EN PREVISION DE LA GREVE DU 5 DECEMBRE

    Le maire de Vanves, comme tous ces collègues franciliens,  a dû recevoir ou devrait être destinaire d’un dossier sur le co-voiturage avec une lettre de Valérie Pécresse expliquant les modalités mis en place par Ile de France Mobilités pour soutenir ce mode de transports et inciter leurs administrés à y recourir. «La gréve du 5 Décembre dans les transports pourrait permettre à la Région de vaincre la barrière psychologique concernant le covoiturage» a indiqué Valérie Pécresse lors d’une conférence de presse sur la stratégie régionale pour l’environnement, qui citait le chiffre de 30 000 covoiturages par mois. «La région a mis en place des moyens importants d’informations et d’explications notamment en direction des maires qui ont reçu un courrier» a-t-elle ajouté.

    Contrairement à la gréve de décembre 1995 qui sert de référence, où les parisiens et les franciliens n’avaient pas d’alternatives, que l’auto-stop, plus de vingt ans aprés il en existe avec Vélib’, Véligo location, le plus grand service de location de VAE au monde, lancé en Septembre dernier par la Région, sans compter les flottes de free floating et le covoiturage. L’objectif de la Région est de franchir le pas de la mobilité partagée, en ayant,  avec Ile de France  Mobilités (IDFM), lancée en 2017, l’opération «Tous ensemble pour le covoiturage», pour soutenir le covoiturage domicile-travail. IDFM a même rendu ce mode de transport quasiment gratuit, car il permet à chaque francilien titulaire d’un pass Navigo, inscrit sur l’une des 8 plateformes de covoiturage partenaires de l’opération, à travers le site ou l’application, de ne rien payer. Ainsi pour les passagers, 2 trajets sont offerts par jour pour les abonnés Navigo annuel. Pour les conducteurs, une indemnité kilométrique de 1,50 à 3 € par trajet et par passager en fonction de la distance parcourue. Jusqu’à 150 € par mois pour les conducteurs covoiturant chaque jour sur le domicile-travail. Enfin, la gratuité du covoiturage est prolongée en cas de pics de pollution et de perturbations majeurs dans les transports, grâce à une subvention de 4 € par trajet. D’ailleurs  la grève SNCF sur l'axe Atlantique a fait s’envoler les réservations de dernière minute  pour les cars ou le covoiturage, avec deux fois plus de trajet pour Blablacar